Ford Pinto 1977 avec 500 000 miles

http://www.oldcarsweekly.com/features/half-million-miles
De la Californie:



Cette Pinto est aussi fraîche que le jour où elle a roulé de la ligne d'assemblage en 1977 , et aujourd'hui, elle obtient autant de regards en Californie que les voitures les plus exotiques sur les autoroutes ensoleillées du sud de la Californie.

Pour couronner le tout, cette Pinto est une voiture à un propriétaire. Et est presque originale. Le moteur a été remplacé deux fois. Le reste de la voiture est original!
(le premier moteur a fait 165 000 miles/ 265 000km)
"Le 1er février 1977, j'ai acheté une nouvelle Ford Pinto de Thompson-Fauskee Ford à Santa Barbara, en Californie", explique le propriétaire Don Ensch.
"La berline à deux portes Pinto de 3 800 $ est aussi orange qu'une plantation d'oranges Californienne. La peinture a bien résisté," dit Ensch.

Au moment où Ensch a acheté sa Pinto, le moteur standard était le 140cid/2.3-litre, couplé à une transmission à quatre vitesses et un différentiel de 2.73:1.


TRADUIT (par moi) DE:
This Pinto is as fresh looking as the day it rolled off the 1977 assembly line, and today, it gets as many stares in the California car culture as the latest, best and most exotic cars on the sunny Southern California freeways.

To top it all off, this Pinto is a one-owner car. And it’s nearly original. The engine has been replaced twice. The rest of the car is the way Ford Motor Co. assemblers made it.

“On Feb. 1, 1977, I purchased a new Ford Pinto from Thompson-Fauskee Ford in Santa Barbara, California,” says owner Don Ensch.

The $3,800 Pinto two-door sedan came as orange as a ripe California grove Valencia. The paint has held up well, says Ensch.

By the time Ensch bought his Pinto, the standard engine was the 140-cid, 2.3-liter four cylinder that was coupled to a four-speed transmission and a 2.73:1 rear axle.

Dans les citrons, y'en a toujours une qui veut faire mentir les prognostics. Pareil avec certains K cars, certaines Chevettes, Neons, etc.

la Pinto était pas un citron, c'était certainement une auto très moyenne, avec un danger en cas de collisions arrière, -Comme beaucoup d'autos de ces années, mais la "solution" de Ford à ce problème a VRAIMENT fait grincer des dents.
(C'est moins cher payer des dédommagements aux accidentés que de corriger la bagnole   )
-Ça coutait pas cher à réparer,
-La consommation était raisonnable.
-Il y avait des concessionnaires partout
-Les garage indépendants voulait travailler dessus.

Le plus jeunes n'ont pas connus l'angoisse d'arriver avec une auto Japonaise chez un garage indépendant, et se faire dire "Je travaille pas sur les p'tits chars japonais, moi."

"Avec des boulons métriques!! je suis pas pour m'acheter un autre kit d'outils juste pour ton bazou?"
   
La Chevette non plus était pas un citron, c'était fiable. Lent et platte, mais fiable.